LG vs Samsung : lequel offre la meilleure télévision en 2025 ?

LG et Samsung occupent le sommet de la télévision grand public, avec deux philosophies qui se confrontent sans cesse: l’excellence OLED et QD‑OLED face aux Neo QLED et Mini‑LED survoltés. 2025 met l’accent sur la luminosité HDR, la fidélité des couleurs et un écosystème logiciel décisif. Les amateurs de cinéma, les joueurs exigeants et les foyers aux salons très lumineux n’ont pas les mêmes besoins, et les décisions se font souvent sur des détails: compatibilité Dolby Vision ou HDR10+, présence de HDMI 2.1 sur tous les ports, VRR à 144 Hz, ou intégration domotique. Dans l’ombre, les challengers comme TCL et Hisense progressent, tandis que Sony, Philips et Panasonic affinent le traitement d’image. Les marques Sharp, Thomson et Toshiba restent pertinentes pour les budgets serrés. L’objectif: un choix clair, adapté à un usage réel et à une pièce donnée, sans jargon inutile mais avec des critères concrets pour éviter l’achat approximatif.

LG vs Samsung : les technologies d’affichage en 2025 (OLED, QD‑OLED, Mini‑LED, MicroLED)

La bataille LG vs Samsung en 2025 repose d’abord sur les technologies de dalle. LG continue d’optimiser l’OLED (WOLED) avec des gains de luminosité grâce à des couches d’optimisation microlentilles et un algorithme de gestion de l’ABL mieux calibré. Samsung pousse de son côté le QD‑OLED sur ses modèles premium, privilégiant une luminosité crête élevée, des rouges et verts plus saturés et un volume colorimétrique qui séduit dans les pièces claires. Sur le segment lumineux non-OLED, Neo QLED (Mini‑LED) chez Samsung et les Mini‑LED chez TCL/Hisense offrent des pics HDR spectaculaires avec des milliers de zones de gradation.

Derrière ces étiquettes, la logique est simple. L’OLED (LG) excelle dans le noir absolu, l’homogénéité et la naturalité de l’image, idéale pour le cinéma. Le QD‑OLED (Samsung) renforce la luminosité et le gamut, pratique pour le HDR percutant et les salons lumineux. La Mini‑LED s’apparente à un LCD de nouvelle génération: rétroéclairage très finement contrôlé, contrastes élevés, mais un risque de halos autour des objets lumineux subsiste, même si la génération 2025 réduit cet effet. Le MicroLED reste un rêve de salon: supérieur en théorie, mais des diagonales massives et des tarifs stratosphériques le réservent pour le très haut de gamme.

WOLED vs QD‑OLED : forces et limites concrètes

Dans la pratique, les différences s’observent sur des scènes typiques. Un ciel nocturne étoilé sera souverain sur un OLED LG grâce à ses noirs parfaits et à l’absence de blooming. Une nébuleuse HDR ultra-lumineuse ou une interface de jeu très colorée paraîtra plus « punchy » sur un Samsung QD‑OLED, qui pousse la luminance sur les couleurs saturées. Les séries dramatiques à basse lumière favorisent souvent LG, tandis que les événements sportifs en plein jour et les jeux HDR flamboyants donnent un avantage au QD‑OLED.

Les alternatives enrichissent le débat. Sony mise sur un traitement vidéo soigné qui sublime aussi bien l’OLED que le Mini‑LED. Philips ajoute son Ambilight immersif; Panasonic reste un repère pour les coloristes. TCL et Hisense défient tout le monde en Mini‑LED abordable, pendant que Sharp, Thomson et Toshiba maintiennent des références simples et accessibles. Ces marqueurs de marché permettent de tempérer la dichotomie LG/Samsung: le « meilleur » dépend du contexte d’usage.

• 🌙 OLED LG : noir parfait, homogénéité, cinéma à la maison.
• 🌈 QD‑OLED Samsung : couleurs intenses, forte luminosité, gaming HDR.
• 💡 Mini‑LED : pics lumineux extrêmes, anti-reflets efficaces, bon pour salons éclairés.
• 🏗️ MicroLED : image de rêve, mais tailles et prix déraisonnables.

Conclusion opérationnelle: pour un salon modérément lumineux et des soirées cinéma, un OLED LG a l’avantage. Pour les contenus HDR éclatants et un usage mixte jeu/sport, un QD‑OLED ou une Mini‑LED Samsung sera plus incisif.

Qualité d’image HDR : LG Dolby Vision face au Samsung HDR10+ et traitement vidéo

La qualité HDR dépend autant de la luminosité que du support des métadonnées. LG mise sur le Dolby Vision, omniprésent sur Netflix, Disney+ et de nombreux UHD Blu-ray. Samsung préfère le HDR10+, dynamique aussi, et compatible Amazon Prime Video. Sur un même film, la différence tient au mastering et à la gestion tonale: LG interprète magistralement le Dolby Vision sur les scènes sombres, tandis que Samsung exploite la puissance lumineuse pour des reflets plus marqués en HDR10+.

Le traitement vidéo reste un pilier: réduction du bruit, upscaling d’un signal TV HD vers la 4K, compensation de mouvement. Les algorithmes se raffinent chaque année. Les contenus de sport, avec leurs travellings rapides, révèlent vite les limites d’un moteur de fluidité. Les OLED LG ont gagné en stabilité, mais Samsung garde une longueur d’avance en forte luminosité, utile pour que les détails ne se perdent pas dans l’éblouissement.

Colorimétrie, uniformité et reflets : les paramètres réels qui changent tout

La colorimétrie influence la fatigue visuelle. LG propose souvent un mode Filmmaker plus neutre, propice aux films. Samsung offre des profils dynamiques, flatteurs pour les jeux et les séries éclatantes. L’uniformité des dalles OLED a fait des progrès pour les grandes diagonales; la Mini‑LED chez Samsung, TCL et Hisense minimise les fuites de lumière par un zonage plus dense. Les traitements anti-reflets de Samsung sont exemplaires dans les pièces très éclairées, alors que les OLED LG profitent de leur black floor pour garder du relief même sans obscurité complète.

• 🎯 Dolby Vision (LG) pour le cinéma sur plateformes et Blu‑ray UHD.
• 🚀 HDR10+ (Samsung) très percutant avec de forts pics lumineux.
• 🛡️ Filtres anti-reflets performants sur Neo QLED et QD‑OLED Samsung.
• 🎥 Modes Filmmaker et Cinéma chez LG, Vivid et Standard chez Samsung selon la pièce.

Les concurrents apportent leurs nuances. Sony avec son processing travaille le skin tone et le mouvement, Philips ajoute l’Ambilight qui donne une perception de contraste accrue, Panasonic demeure une référence pour les masters cinéma. Les gammes de Sharp, Thomson et Toshiba se concentrent sur l’essentiel mais conviennent à des usages TV du quotidien.

En synthèse pratique: les amoureux du cinéma gagneront à privilégier le Dolby Vision des LG, tandis que les spectateurs en environnement lumineux profiteront de la réserve lumineuse des Samsung en HDR10+.

TV gaming 2025 : LG ou Samsung pour PS5, Xbox Series et PC 144 Hz

Le jeu vidéo impose des exigences spécifiques: input lag minimal, VRR (G‑Sync/FreeSync), 4K à 120/144 Hz, et menus dédiés. LG a fait des OLED une référence pour les joueurs: fluidité, noirs absolus et compatibilité large HDMI 2.1 sur plusieurs ports. Samsung répond avec ses QD‑OLED et Neo QLED armés d’une Game Bar complète, du 144 Hz sur certaines diagonales et un anti-reflet efficace, très appréciable pour les sessions de jour.

Au-delà de la fiche technique, l’expérience compte. Les interfaces jeu permettent d’afficher le framerate, d’ajuster le Black Equalizer, d’activer le ALLM et de basculer rapidement entre console et PC. L’eARC transporte l’Atmos d’une console vers une barre de son sans latence audible. Le cloud gaming (GeForce NOW, Xbox Cloud Gaming) vient compléter le tableau, accessible autant sur webOS que sur Tizen selon les régions.

Prévenir le marquage et optimiser la latence

Les OLED 2025 intègrent des protections contre le marquage: rotation des pixels, réduction temporaire de la luminosité statique, et détection d’interface. Pour les streamers qui laissent des HUD fixes, ces réglages sont cruciaux. Côté latence, LG et Samsung restent sous les 10 ms en 4K/120 Hz, imperceptible pour la majorité des joueurs. Les Mini‑LED de TCL et Hisense impressionnent aussi, surtout pour qui veut un grand écran 75-85″ à prix contenu.

• 🎮 4K/120 Hz et souvent 144 Hz sur les modèles gaming phares.
• 🧰 Game Bar, réglages VRR, ALLM, affichage FPS intégrés.
• ☁️ Cloud gaming natif selon pays (GeForce NOW, Xbox).
• 🔇 eARC pour l’audio sans compromis vers une barre Atmos.

Conseil express: joueurs compétitifs ou fans de RPG HDR, un QD‑OLED ou un OLED LG domine; pour de très grandes diagonales à coût contenu, Mini‑LED chez TCL et Hisense est un bon plan.

LG webOS vs Samsung Tizen : écosystèmes, applications et confidentialité

Le système d’exploitation conditionne l’usage quotidien. webOS (LG) et Tizen (Samsung) proposent toutes les applications majeures: Netflix, Prime Video, Disney+, YouTube, myCANAL et des services de jeux en streaming selon les pays. Les interfaces 2025 réduisent les temps d’accès et affichent des recommandations plus pertinentes, en s’appuyant sur des profils d’usage pour éviter l’effet « mur d’apps ».

L’ergonomie de la télécommande influe plus qu’on ne le croit. LG continue de proposer un pointeur pratique pour saisir des mots de passe et se déplacer dans les menus. Samsung mise sur une télécommande minimaliste et rechargeable, très écologique, avec des raccourcis utiles. Les intégrations SmartThings, Apple AirPlay, HomeKit ou Google Assistant complètent le maillage domotique, tandis que les dashboards de périphériques connectés centralisent l’éclairage, la climatisation et les capteurs.

Mises à jour, collecte de données et fluidité au quotidien

Les mises à jour logicielles prolongent la vie d’un téléviseur. LG et Samsung livrent régulièrement des correctifs de performances, d’options d’accessibilité et de nouvelles applis. La question de la confidentialité est mieux traitée: consentements explicites, possibilité de restreindre les publicités contextuelles et d’effacer l’historique de visionnage. Les utilisateurs exigeants apprécieront de pouvoir désactiver certaines télémétries.

• 🧭 Navigation rapide : barre d’accès, profils, recherche vocale.
• 🔐 Confidentialité : paramètres clairs, télémetrie désactivable.
• 🔗 Compatibilité domotique : SmartThings, AirPlay, HomeKit.
• 🔄 Mises à jour régulières pour stabilité et nouvelles apps.

En clair: webOS se distingue par sa convivialité et son pointeur, Tizen par sa sobriété efficace et son écosystème SmartThings robuste. Les deux couvrent les besoins essentiels sans compromis majeur.

Audio et intégration : Dolby Atmos, DTS et barres de son compatibles LG ou Samsung

L’image n’est que la moitié de l’expérience. En 2025, le son spatialisé s’invite partout, et un téléviseur bien choisi doit gérer eARC, Dolby Atmos et éventuellement DTS:X. LG privilégie l’Atmos et propose des barres de son « Wow Orchestra » capables d’unir les haut-parleurs de la TV et de la barre. Samsung répond par Q‑Symphony, approche similaire qui combine haut-parleurs internes et barre de son pour une scène plus large sans ajouter des enceintes arrière.

Les utilisateurs de lecteurs Blu‑ray, consoles ou boîtiers multimédias tireront parti d’eARC pour transmettre un flux audio non compressé vers une barre ou un ampli. Les OLED fins manquent de caisse de résonance; une barre de son compacte fait souvent un bond qualitatif substantiel. Côté écosystème, la compatibilité multi-marques s’est améliorée: pas besoin d’une barre strictement de la même marque, même si les fonctions d’orchestrations propriétaires sont un plus.

Réglages pratiques et scénarios d’écoute

Beaucoup sous-estiment l’égalisation. Un profil « Nuit » utile réduit les explosions et clarifie les dialogues. Un mode « Voix » rehausse les médiums pour les documentaires. Les jeux bénéficient d’un profil « FPS » avec une spatialisation accentuée. Philips et Panasonic conservent une excellente lisibilité des dialogues en mode cinéma, tandis que des marques comme Sharp, Thomson ou Toshiba proposent des solutions simples mais correctes avec un coût modeste.

• 🔊 eARC indispensable pour Atmos sans perte.
• 🧩 Q‑Symphony (Samsung) et Wow Orchestra (LG) pour étendre la scène sonore.
• 🎛️ Profils « Nuit », « Voix », « Jeu » pour adapter le rendu.
• 🎯 Une barre de son change plus l’expérience qu’un simple cran de volume.

Recommandation réaliste: associer un OLED LG ou un QD‑OLED/Neo QLED Samsung à une barre compatible eARC garantit une expérience cinéma équilibrée, même à volume modéré.

Design, connectique et efficacité : Gallery Design LG ou One Connect Samsung ?

Le design compte autant que la fiche technique quand la TV trône au cœur du salon. LG met en avant un « Gallery Design » plaqué au mur, avec un profil fin et une intégration discrète. Samsung propose la boîte One Connect sur certains modèles: un unique câble monte vers le téléviseur, tandis que HDMI 2.1, antenne et alimentation se branchent au boîtier, souvent caché dans un meuble. Résultat: une installation très propre et un changement de sources sans manipuler l’écran.

La connectique fait la différence au quotidien. Quatre ports HDMI 2.1 sont idéaux pour cumuler console, PC, lecteur et barre eARC. Les USB servent au timeshift et à l’alimentation d’accessoires. Les capteurs de luminosité ajustent l’intensité selon l’heure; un mode d’économie énergique limite la consommation. Les supports VESA et les pieds centraux ou latéraux déterminent l’ergonomie sur un meuble existant. Côté entretien, un chiffon microfibre et une gestion des câbles bien pensée prolongent la propreté visuelle.

Consommation et bruit visuel : quand l’esthétique devient fonctionnelle

Un anti-reflets performant permet de réduire l’éclairage ambiant sans perdre en lisibilité. Là, Samsung est réputé, surtout sur Neo QLED. LG compense par l’attrait de l’OLED au noir profond, qui garde sa force même avec un éclairage plus doux. Pour des pièces vitrées, les dalles mates ou semi-mates sont à préférer. L’empreinte énergétique s’est améliorée: les modes éco intelligents adaptent l’image sans trop trahir la colorimétrie.

• 🧱 Gallery Design (LG) pour un look encastré et minimaliste.
• 📦 One Connect (Samsung) pour un câblage épuré.
• 🔌 4x HDMI 2.1 souhaitables pour un setup moderne.
• 🌱 Modes éco et capteurs de lumière pour réduire la consommation.

Message clé: un salon lumineux et épuré profite de One Connect et des filtres anti-reflets de Samsung, tandis qu’un mur dédié au home-cinéma valorise le design galerie d’un OLED LG.

Prix, promotions et valeur : LG vs Samsung face à TCL, Hisense, Sony, Philips et Panasonic

Les tarifs fluctuent beaucoup au cours de l’année. Le lancement est au plus haut; les promotions deviennent intéressantes entre quelques semaines et quelques mois. LG et Samsung segmentent finement: entrée de gamme pertinent pour la télévision quotidienne, milieu de gamme équilibré pour films et sport, haut de gamme pour HDR extrême et gaming. Les alternatives TCL et Hisense bousculent les prix en grandes diagonales Mini‑LED, souvent 75″ et plus très compétitifs.

Sony et Panasonic restent premium, justifiés par le traitement vidéo et la calibration. Philips apporte Ambilight, très apprécié pour agrandir visuellement l’image, un argument qui dispense parfois d’acheter des rubans LED séparés. Les marques Sharp, Thomson et Toshiba remplissent efficacement les besoins basiques avec un budget serré, notamment pour une chambre, un bureau ou une résidence secondaire.

Anticiper le bon timing et les vrais coûts

Le coût total d’un setup inclut la fixation murale, le câble HDMI certifié, et éventuellement la barre de son. Les jours de soldes et périodes de renouvellement de gamme créent des écarts de prix significatifs. Un modèle haut de gamme de l’an passé soldé peut surclasser un milieu de gamme tout neuf au même prix. À l’inverse, si le Dolby Vision est indispensable, la bascule vers LG devient évidente; si la luminosité en plein jour est prioritaire, Samsung prend la main.

• 💸 Grandes diagonales abordables chez TCL/Hisense en Mini‑LED.
• 🏷️ Promotions importantes 3 à 6 mois après lancement.
• 🧮 Coût total = TV + fixation + câbles + audio.
• 🎯 Besoin principal (cinéma vs salon lumineux) guide la marque.

Conclusion pragmatique: pour tirer le meilleur prix, viser les fins de série et comparer les packs avec barre de son. LG et Samsung conservent leur valeur à la revente grâce à une forte demande.

Sport, films et séries : fluidité, upscaling et anti‑reflets au quotidien

Au-delà des démos HDR, une grande partie du temps se passe sur du sport en direct et des séries compressées. L’upscaling d’une source HD vers 4K, la stabilité du mouvement et la gestion des artefacts deviennent essentiels. Samsung se démarque en pièce très lumineuse: ses Neo QLED et QD‑OLED gardent des couleurs éclatantes et des lignes nettes pendant les matchs. LG, avec l’OLED, excelle à préserver les détails dans les ombres et à restituer un grain cinéma convaincant.

Les modes « Sport » accentuent les couleurs et la netteté, utiles pour suivre le ballon et lire les incrustations. Les modes « Cinéma/Filmmaker » privilégient la fidélité, également bienvenus pour les films. Un bon compromis consiste à ajuster un profil personnalisé: réduire légèrement l’accentuation, désactiver l’effet « soap opera », et laisser la compensation de mouvement à un niveau faible pour préserver l’intention du réalisateur.

Cas concrets : salons lumineux vs ambiances tamisées

Dans un loft vitré, un QD‑OLED ou une Mini‑LED Samsung vire souvent en tête grâce aux traitements anti‑reflets. Dans une salle tamisée, un OLED LG délivre une profondeur de noir incomparable. Les alternatives Philips (Ambilight pour renforcer le contraste perçu) et Panasonic (colorimétrie de référence) restent pertinentes, tandis que TCL et Hisense offrent un excellent rendu sport avec des diagonales géantes sans grever le budget. Les gammes Sharp, Thomson et Toshiba répondent aux besoins essentiels dans les pièces secondaires.

• 🏟️ Mode Sport + anti‑reflets pour les matchs en journée.
• 🎬 Mode Filmmaker pour films et séries sans « soap opera ».
• 🧪 Profil personnalisé adapté à votre pièce et à vos sources.
• 🧼 Upscaling propre pour la TNT/streaming compressé.

Point d’attention: l’upscaling et la fluidité sont des critères décisifs, souvent plus que 100 nits de luminosité en plus sur la fiche technique.

Quel téléviseur pour quel profil : cinéma, salon lumineux, gaming ou budget serré ?

Plutôt que de chercher un « gagnant universel », mieux vaut associer un usage à un type de téléviseur. Pour un cinéphile, l’OLED LG avec Dolby Vision et un mode Filmmaker est un choix naturel. Pour un salon très lumineux, un Samsung QD‑OLED ou un Neo QLED (Mini‑LED) garantit une image percutante de jour. Les joueurs apprécieront un panneau 120/144 Hz, VRR et un hub gaming complet. Enfin, un budget serré bénéficie grandement des Mini‑LED TCL/Hisense, tandis que des modèles de Sharp, Thomson et Toshiba restent pertinents pour une chambre.

Deux foyers fictifs aident à trancher. Chez Pauline et Malik, grand salon exposé sud, jeux sur console et sport l’après‑midi: un Samsung QD‑OLED anti‑reflets et 144 Hz s’impose. Chez Lina et Hugo, salle dédiée sombre, collection de Blu‑ray UHD: un LG OLED avec Dolby Vision et une barre Atmos est idéal. L’idée est d’aligner la pièce, les sources et les habitudes.

Checklist rapide selon les scénarios

• 🎬 Cinéma: LG OLED + Dolby Vision + barre eARC.
• 🌞 Salon lumineux: Samsung QD‑OLED/Neo QLED + anti‑reflets puissant.
• 🎮 Gaming: 4x HDMI 2.1, 4K/120‑144 Hz, VRR, Game Bar/Dashboard.
• 💰 Budget: TCL/Hisense Mini‑LED; Sharp/Thomson/Toshiba pour pièces secondaires.

En somme, le meilleur téléviseur est celui qui épouse votre usage dominant et votre pièce, pas celui qui gagne uniquement sur les luminances crêtes en laboratoire.

Maintenance, garanties et durabilité : faire durer l’investissement

Une fois la TV installée, l’entretien et la couverture jouent sur la tranquillité. Un dépoussiérage régulier avec un chiffon microfibre, éviter les nettoyants agressifs, et garder une bonne ventilation sont des gestes simples. LG et Samsung proposent des garanties standard, extensibles chez certains revendeurs. Les mises à jour logicielles prolongent la compatibilité applicative. L’activation de la protection contre le marquage sur les OLED et l’usage d’économiseurs d’écran après les sessions de jeu HUD‑intensifs réduisent le risque de rémanence.

Les consommations énergétiques ont baissé, mais un mode éco bien calibré et une luminosité ambiante équilibrée réduisent la facture. Les supports muraux certifiés et un câblage de qualité évitent des tensions sur les ports HDMI. Les réparations hors garantie existent mais ont un coût: une extension bien négociée peut sécuriser un écran très haut de gamme.

Bonnes pratiques au quotidien

• 🧽 Nettoyage doux, jamais de solvants, écran à froid.
• 🌀 Économiseur d’écran et rotation des pixels sur OLED activés.
• 🔧 HDMI certifiés et câbles non tendus pour préserver les ports.
• 📦 Extension de garantie à envisager sur les grandes diagonales premium.

Message final de cette section: une TV haut de gamme bien entretenue et régulièrement mise à jour conserve une excellente valeur d’usage pendant des années, que ce soit chez LG, Samsung ou leurs concurrents Sony, Philips et Panasonic.

Questions fréquentes sur LG vs Samsung en 2025

Dolby Vision est-il indispensable pour les films ?
Il n’est pas indispensable, mais sur les plateformes et Blu‑ray UHD compatibles, le Dolby Vision optimise scène par scène. LG en tire un avantage pour le cinéma. Samsung contrebalance par une forte luminosité et le HDR10+.

Un téléviseur Mini‑LED peut-il rivaliser avec un OLED en noir ?
La Mini‑LED offre d’excellents contrastes et des pics lumineux supérieurs, mais l’OLED garde un avantage en noir absolu et en absence de blooming. En salon très lumineux, une bonne Mini‑LED peut toutefois paraître plus percutante.

Pour le jeu, faut-il absolument 144 Hz ?
Le 144 Hz apporte une marge de fluidité utile sur PC. Pour console, 120 Hz suffit largement. L’important reste le VRR, l’input lag bas et des HDMI 2.1 multiples.

webOS ou Tizen, lequel est le plus complet ?
Les deux couvrent l’essentiel des applications. webOS est convivial avec son pointeur; Tizen brille par l’écosystème SmartThings et une télécommande sobre et rechargeable.

Quel rapport qualité/prix en grandes tailles ?
En 75-85″, la Mini‑LED chez TCL et Hisense offre un excellent compromis. En 55-65″, l’OLED LG et le QD‑OLED Samsung dominent pour une expérience premium.

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